Aujourd’hui, tout le monde parle de build in public.
On montre son Figma, ses releases, ses nouveaux features, ses dashboards.
Bref : on montre la partie fun. La création.
Mais soyons honnêtes :
Builder, c’est la partie confortable.
Ce qui est dur, c’est vendre.
Ça, c’est la vraie douleur des fondateurs.
Et pourtant, c’est là que personne ne communique.
Parce que c’est inconfortable. Parce que ça touche à l’égo.
Sur Twitter, LinkedIn, IndieHackers :
Mais jamais :
1️⃣ C’est éducatif pour la communauté.
Montrer tes vraies galères de vente aide d’autres founders à voir les vraies mécaniques du marché.
2️⃣ Ça attire des vrais feedbacks.
En exposant tes obstacles, tu attires souvent des clients, des advisors ou des partenaires qui peuvent t’aider.
3️⃣ Ça construit ta crédibilité.
Personne ne croit que ton parcours est lisse. Montrer la difficulté donne du poids à tes réussites futures.
4️⃣ Ça t’oblige à rester honnête sur ton exécution.
Tu ne peux pas tricher avec tes propres chiffres quand tu les partages publiquement.
Exemple brutal mais honnête :
“Sur les 15 démos de la semaine, 9 prospects ont trouvé notre offre trop chère.
On teste une offre starter à 99 CHF pour lever ce frein dès cette semaine.”
Quand on accompagne des founders, la vraie douleur n’est presque jamais technique.
Le vrai problème, c’est le
marché
Et ces problèmes-là, tu ne les règles pas en ajoutant des features.
Oui : build in public.
Mais surtout : sell in public.
C’est dans l’inconfort que tu apprends.
Les chiffres bruts, les refus, les pivots — c’est ça qui nourrit le produit.
Chez Bumps, on ne fait pas que builder des MVP.
On construit des machines d’acquisition :
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Construire, c’est facile.
Vendre, c’est là où tout se joue.